Et l'art alors ?   

L'arbitre des élégances

Ce titre est remis en jeu tous les ans et est décerné par un jury artistique composé de cinq membres. Le titre d'arbitre des élégances offre de nombreuses prérogatives dans toutes les cours translavyniennes. En effet personne n'oserait contredire le jugement de l'arbitre des élégances sur la façon de décorer une pièce, d'organiser une réception ou de régler l'étiquette à la cour.
Toutefois les prérogatives de l'arbitre des élégances dépassent ce cadre. Il a en effet le statut d'un plénipotentiaire permanent. Autrement dit, il est interdit de porter la main sur l'arbitre des élégances et tout noble est censé écouter les avis de l'arbitre.
En 1251 le comité artistique chargé de désigner le nouvel arbitre des élégances s'était réuni dans la ville franche de Bulirest sous la présidence du bourgmestre Janus Tiberiu. Outre le bourgmestre, le jury était composé de quatre membres, la baronne Elena Milocescu, Sylvanna une devineresse de la Schole, le pope Augustin et la baronne Irma Milocescu.
L'attribution du titre d'arbitre des élégances, qui outre la notoriété qu'il apporte transforme son détenteur en la conscience de la Translavynie, fut encore une fois sans surprise. Depuis qu'Igor Gohu s'est retiré en 1247 de la course au titre, son disciple Sandu Zamfirescu emporte la compétition haut la main depuis 3 ans.

Igor Gohu : 1210-1247
Sandu Zamfirescu : 1248-1251